Une vaine semaine déjà que je trépasse
À l'ombre de ta beauté - elle ne se froisse
Pas - et que mes pas me mènent à toi,
Tel un cœur égaré à qui s'impose la loi
De tes yeux grenats - ils m'envoûtent -
Sur lesquels, Roseau, je m'arc-boute ;
Ton sage regard attise mon fol espoir,
Rendant toute autre pensée dérisoire.
Le jour délavé et la lumière éteinte,
Blotti dans ces fantômes d'étreinte,
Je confesse à nouveau ma profession
De foi, mes prières, tendre confusion.
Je songe à exister tout simplement :
Être plus qu'une poussière d'amant.
À l'ombre de ta beauté - elle ne se froisse
Pas - et que mes pas me mènent à toi,
Tel un cœur égaré à qui s'impose la loi
De tes yeux grenats - ils m'envoûtent -
Sur lesquels, Roseau, je m'arc-boute ;
Ton sage regard attise mon fol espoir,
Rendant toute autre pensée dérisoire.
Le jour délavé et la lumière éteinte,
Blotti dans ces fantômes d'étreinte,
Je confesse à nouveau ma profession
De foi, mes prières, tendre confusion.
Je songe à exister tout simplement :
Être plus qu'une poussière d'amant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire