Seul ce soir sur notre canapé virtuel,
Souvenir de nos caresses mutuelles,
Le chant mélancolique d'Amsterdam
Tonne plus que jamais en mon âme...
Et le feu sacré de mon étoile vacille
Pendant que le Temps et sa faucille
Sont en ta possession, ô mon Ombre.
La froideur m'envahit... Je sombre...
Mes draps vides de toi, mon Coeur,
Brûlent mon corps de cette douleur
Que la distance seule rend limpide.
Plus que jamais tu es ma Pyramide,
L'Être qui me manque à en pleurer ;
Reviens vite adoucir notre pêché !
Souvenir de nos caresses mutuelles,
Le chant mélancolique d'Amsterdam
Tonne plus que jamais en mon âme...
Et le feu sacré de mon étoile vacille
Pendant que le Temps et sa faucille
Sont en ta possession, ô mon Ombre.
La froideur m'envahit... Je sombre...
Mes draps vides de toi, mon Coeur,
Brûlent mon corps de cette douleur
Que la distance seule rend limpide.
Plus que jamais tu es ma Pyramide,
L'Être qui me manque à en pleurer ;
Reviens vite adoucir notre pêché !
4 commentaires:
trés beau
merci :)
T'as appris a devenir diaphane ou peut être que la vie a pris le soin de le faire à ton insu :)
je me délecte à te lire de nouveau mon cher roumi et à constater que tu t'es laissé enfin gagner par une perméabilité affective qui n'enlève rien à ta maturité mais te rend plus heureux.
Mes évocations concernent des joies malheureusement très éphémères.
Ravi de te lire en tout cas.
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