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Quand sourdent les chatoiements mornes
De la voussure céleste délavée d’automne,
Mes espoirs embrassent le soleil couchant,
Au nimbe vaporeux de la couleur du sang.
Mon horizon c’est toi, encore à demi-voilé,
Que caresse mon regard d’azur passionné.
Ton cœur flamboyant devient ma boussole,
Conteur des plus savoureuses paraboles…
Viens… assiège mon âme… captive moi !
Je le jure, j’en fais serment : je suis à toi !
Transperce-moi de tes rayons chaleureux !
Brûle-moi tout le corps et le plus heureux
Des hommes je serai ! Ô tendre voyageur,
Reviens moi vite ; je t’attends, mon Cœur !
6 commentaires:
tres beau poeme mon ami bravo !:)
"De la voussure céleste délavée d'automne". Ce vers est splendide.
Ton impression soleil couchant est "impressionnante" .
waw j'adore
@ulyssen : merci Habibou. Je suis heureux car j'ai beaucoup d'inspiration depuis quelques semaines pour écrire des poèmes ! :)
@renzo : merci. c'est vrai que le deuxième vers est pas mal ; malheureusement ce n'est pas un alexandrin... regrets éternels... :)
@nihed : merci Nihed. J'espère que tu écriras aussi des poèmes un jour car tu as la sensibilité pour cela. :)
sur le cul!
@orchea : merci pour ce compliment original. :)
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