jeudi 18 février 2010

Coeur qui soupire...

Un dernier bruit cette nuit s'efface :
Ah vous donc, Chimères de la Vie,
À vos œuvres délavées au lavis,
Aux doux rêves où tu m'enlaces,

Mon cœur assoiffé de ton ombre...
J'erre au crépuscule, sans l'Étoile,
Hier promise, et qui, las, se dévoile
Timide parmi de tristes décombres

Quand on l'espère des plus vives.
Comprends-moi, comme je prie
De pouvoir te comprendre, ô Rive

D'espoir, mon beau Jardin fleuri !
Pardonne-moi ces pas maladroits :
Je suis faible... et tu me foudroies.

4 commentaires:

Unknown a dit…

j'aime :)

Roumi a dit…

merci :)

Anonyme a dit…

But, dear Rumi, il faut alterner rimes féminines et rimes masculines, pas les mélanger ;)

Roumi a dit…

tes doléances seront examinées en temps utile. :)