lundi 28 janvier 2008

Nevers

Nevers ça fait penser au never anglais. Pourtant cela n’a rien à voir puisque Nevers vient du celtique latinisé Nevirnum. Ah si il y a un rapport : Nevers ne s'oublie jamais. :)


Nevers est le chef-lieu du département de la Nièvre, établi au bord de ce magnifique fleuve qu'est la Loire… Nevers est une ville de province comme tant d’autres dirait un Parisien faisant commencer la province à 30 kilomètres de Paris… certes mais chaque ville est unique.


Célèbre pour ses ducs qui y ont laissé un beau palais de style Renaissance, on se souvient en particulier des Bourbons ou encore de l’aigle des Gonzague, une prestigieuse famille princière franco-italienne, à laquelle reste attachée la célèbre « botte de Nevers », un coup d’épée porté au front de l’adversaire, ajusté avec précision entre les deux yeux… un véritable travail d’orfèvre ! :p Le prince de Gonzague, duc de Nevers, est également immortalisé dans le Bossu de Paul Féval et incarné à l’écran en 1997 par le truculent Fabrice Luchini.


Nevers c’est aussi sa cathédrale, ornement majestueux de la ville médiévale, siège de l’antique diocèse de Nevers, fondé au VIe siècle et suffragant de l’archevêché de Sens. La cathédrale contient les traces d’un baptistère haut-médiéval ainsi qu’un curieux double chevet, vestige d’anciennes traditions liturgiques.


Nevers est célèbre pour sa faïence, technique qui y avait été introduite depuis l’Italie par les Gonzague ou, plus récemment, par le Grand Prix automobile de France, couru sur le circuit voisin de Nevers-Magnicourt. La ville fut aussi marquée en 1993 par la mort tragique de son maire, l’ancien premier ministre Pierre Bérégovoy.


Nevers a été immortalisée en 1959 par Marguerite Duras et Alain Resnais dans Hiroshima mon amour.


J’allais oublier le meilleur ! Nevers possède une bien belle rue du Quai qui est bien aérée et pas trop encombrée. Les connaisseurs apprécieront… les autres se demanderont de quoi je parle : ceci est une contrepèterie, voilà tout ! Je n’avais pu m’empêcher, hilare, de prendre la plaque de cette rue en photo lors de mon court passage à Nevers il y a déjà quatre ans. Je suis tombé par hasard sur cette photographie ce weekend et on peut dire qu’elle tombait fort à propos pour me redonner le sourire.



lundi 21 janvier 2008

Je suis là...

En cet instant où rien ne trouble le silence sinon le murmure d’un vent froid d’hiver, ton ombre enveloppe mon corps frissonnant. Tes bras me manquent… Je songe à toi à cette heure où Morphée t’accompagne déjà sur le sentier de tes rêves… j’aimerais à l’aube neuve déposer la rosée d’un baiser sur tes lèvres et t’offrir mon regard pour ultime horizon.


Mais nous sommes éloignés l’un de l’autre car la Vie a réuni nos âmes cependant qu’elle se fait encore un malin plaisir d’empêcher nos cœurs de battre l’un contre l’autre. Patience et sagesse sont notre unique espoir… un espoir bien réel heureusement. Un air de viole de gambe m’envahit l’esprit, longue plainte où se mêlent la mélancolie du présent et les douces promesses d’un avenir que l’on désire radieux.


Le serment que je t’ai fait, je veux que rien ne m’en détourne : être et demeurer à toi seul. Je traverse serein et sans tarder le jardin des délices à ta recherche, toi qui me fais oublier tous les autres tel l’Arbre bienveillant aux rameaux tendres et accueillants et aux fruits généreux et incomparables de saveur.


Je pense… Aime-moi… Je sais… Je t’aime… Je rêve… Tu es là… Songe à moi… Je suis là…

lundi 14 janvier 2008

Partir de n'importe où pour aller ailleurs...




Partir de n’importe où pour aller ailleurs…

Partir de nulle part pour arriver nulle part…

Partir…

Descendre pour mieux remonter…

Contourner l’obstacle pour avancer tout droit…

Stopper l’avancée du temps qui passe…

Remonter dans le temps…

Voici quelques-unes des pensées que m’inspirent certaines des œuvres de Maurits Cornelis Escher (Leeuwarden 1898 – Laren 1972). Ce peintre hollandais se caractérise par des jeux de perspective et des constructions basées sur des aberrations géométriques.

Depuis l’enfance j’ai toujours été fasciné par son œuvre et je me rends compte avec l’âge que cela est source de pensées quand je n’y voyais auparavant qu’un jeu… un de ces petits jeux qui me maintenaient dans l’enfance quand tout le reste m’arrachait à ce monde de l’innocence.

Je me demande si ces peintures me plaisaient et me plaisent parce qu’elles coïncident avec mes pensées ou si ce sont ces peintures qui ont nourri mon âme, contribuant par là même à son originalité. Peut-être un peu des deux…

Ce qui est certain c’est que j’ai appris que pour aller d’un point A à un point B, mieux vaut faire un détour, changer d’avis et aller au point C ou encore tourner en rond et revenir au point A. Quelque soit le chemin que l’on prend, l’essentiel est bien d’agir en conscience et avec conviction, à l’image de cette eau ou de ces petits personnages qui cheminent résolument sans pour autant connaître leur but.

En écrivant cette note, j'ai pensé à mon cher Xander. Cette note est pour lui.

samedi 5 janvier 2008

L'année dernière... (II)

Il y a un an j’ai écrit un texte dans lequel je faisais un bilan de l’année écoulée à travers mes souvenirs les plus marquants. L’idée de renouveler cette expérience s’est imposée à moi mais la relecture d’une grande partie de mes mails reçus en 2006 m’a pris plus de temps que prévu et explique mon retard pour publier ce texte.


Janvier 2007

« Je serai de passage à Paris en janvier ; je voulais te proposer de nous voir (…). Qu’en penses-tu ? »… j’en pense que j’ai bien fait d’accepter et on s’est même revu deux autres fois dans l’année !

« Je t’écris encore du train et ce n’est point un hasard. Car outre le fait que je sache que tu adores les trains et que j’y ressens ta présence je dois dire que je n’ai pas eu assez de temps pour écrire. (…) J’ai ramené un portable avec une plus grande autonomie pour t’écrire plus confortablement. Mais cette fois c’est moi qui fatigue. Mon dos me fait souffrir avec toutes ces vibrations dans le train. Mais ce n’est que partie remise. Je t’écrirais peut-être dans mon voyage de retour. A bientôt grand frère. » J’aime l’idée que l’on m’écrive dans un train, plus encore quand c’est toi qui le fait.

« Mon cher ***, grand voyageur tu l’es ! C’est un état d'esprit celui de l’ouverture et ça te correspond parfaitement ! :-)) ». Merci d’avoir déculpabilisé avec brio l’être à tendance casanière que je suis !

« Ta sensibilité et ton honnêteté me touchent au plus au point. Il aurait fallu t'inventer si tu n'existais pas. »


Février 2007

« Mon cher ***, j’ai lu avec beaucoup de plaisir et d'honneur le petit tiré-à-part de ton article. Que dire ? J’aime ta prose. Elle est très claire, honnête, et sans être prétentieuse, sait trouver les adjectifs et les formules qui rendent la lecture agréable. J’espère que tu publieras beaucoup à l’avenir et que tu auras le succès que tu mérites. (…) Je t’embrasse fraternellement ! Vale amice ! » Que bel encouragement !

« Il pleut des cordes à l’instant où je t’écris ces lignes en réponse à ton mail. Je l’ai imprimé comme j’aime à le faire rien qu’avec tes lettres. (…) Pourquoi ne pas te proposer pour enseigner dans une université de Tunis ? Pour toi ça serait une façon de joindre l’utile à l’agréable. (…) et puis tu as déjà où habiter :) tu es le bienvenu chez moi ! »

« Mon cher *** c’est avec plaisir que j’ai lu ton mail et que j’ai compris ton lien avec la Tunisie. Personnellement, j’ai adoré l'histoire ; il y avait en elle un conte de fée. (…) C’est avec plaisir aussi que je t’ai connu même avant de connaitre ton lien avec °°°. Sinon je te souhaite plein de plaisir dans la vie et tout le bonheur du monde. Ce n’est pas dans mes habitudes d’écrire des mails, je ne suis pas trop écrivain comme °°° mais je voulais t’écrire quelques paroles pour t’exprimer mes sentiment de plaisir et à bientôt. » Quelques paroles qui ont su trouver le chemin de mon cœur et t’accorder en retour toute ma reconnaissance.

« Cher Roumi, merci de tout cœur pour ce mail, ne t’inquiètes pas les fils déshumanisés n’ont aucunement atténués l’impact de tes mots. Je connais ta sensibilité et l’amitié profonde et sincère que tu me portes. (…) Avec beaucoup de tendresse et d'amitié. » Ton nom rime avec « paradis » !


Mars 2007

« Si je t’écris ce court message c’est spontané et pour te dire qu’encore une fois cela m’a profondément surpris, intrigué, touché. Une chose rapidement : ne laisse jamais personne te dire « tu n’es pas tunisien ou français ou martien ». Etre tunisien c’est avoir l’amour du pays dans son cœur. Marhbe bik fi bledek » Je me souviens des larmes versées en te lisant...

« Roumi, je connais l’intensité de la lettre que tu m’as envoyée et elle m’a ému au plus haut point, mais ça tu le sais. Ne t’inquiète pas ; ils ne nous ont rien volé, notre amitié est là et nos émotions aussi alors laisse couler et guéris tes blessures pour moi. Je t’embrasse. »


Avril 2007

6 avril… tout a changé… tu m’envoies un mail avec une photo… tu me parles du souvenir que t’inspire cette photo… ton souvenir fait renaître l’un des miens et tout redevient plus clair dans ma tête.

« Mais bien sûr que je serai là ! Qu'est ce que t'es crédule parfois :-) Petit *** bébéte :-p Bonne journée !! » Heureusement que tu es là pour me rendre moins bététe !

« La vie est faite de haut et de bas, il faut donc garder le cap et garder espoir. Tu sais dans ton cas comme dans le mien, même si toute mesure est gardée, nous avons fait le plus dur c'est à dire affronter le passé et en tirer les bonnes conclusions afin d’évoluer et de devenir meilleurs. Alors, il ne faut pas désespérer et puis tu as des amis, une famille aimante, un grand cœur et tu es intelligent donc tout va bien. » Tu as l’art de me réconcilier avec la vie !

« Je te remercie d’avoir été patient et gentil avec moi tout au long de ces dernières cinq années. »


Mai 2007

2 mai-8 mai : les jours les plus marquants de cette année… un millier de kilomètres… vingt-quatre heures de bus dans le seul but de te retrouver après de longs mois de séparation… te prouver combien je t’aime, mon petit frère… la ville est belle avec toi… la vie est douce auprès de toi… je te regarde somnoler sur un banc ou dans l’herbe tout près de moi en savourant les caresses du temps… je me noie encore dans tes yeux pétillants… on marche sur la plage… on respire l’air chargé d’embruns… on fait les quatre-cents coups… tu m’apprends à vivre… on se sépare… je ne te vois déjà plus et je pleure…

12 mai… un mail commun en réponse à une lettre commune qui a fait du chemin… et toujours ces liens complexes qui nous réunissent tous les trois…

« Et ton petit séjour ? Je devine d’après le ton de ta carte que tu as beaucoup apprécié la ville, le climat et surtout le fait de revoir ton "petit frère" ! Eh oui...ça fait toujours du bien de revoir les êtres chers... d’évoquer plein de petites choses avec eux... des choses insignifiantes et tellement importantes pour l’un comme pour l'autre ! Te connaissant, j’imagine que tu as voulu que le temps s’arrête, se fige pour vivre pleinement cet intermède avec ton ami et frère. Je pense également que les adieux étaient difficiles et le retour au train-train quotidien de Paris très dur à supporter. » Tu as tout compris… ta sensibilité est merveilleuse.

« Coucou Roumi ! Merci pour ta réponse, c'est beau comment tu transformes tout en poésie! Une véritable âme de poète! Je suis de plus en plus enchantée de te lire :) bonne fin de journée! Et peut être à ce soir pour la nouvelle note :) »


Juin 2007

1er juin : première grosse gamelle de l’année…

« Mon cher ***, (…) je pense qu’un blog franco-tunisien est une idée très intéressante. Je connaissais déjà ta sensibilité, ta grande culture concernant la Tunisie, ton affection pour ceux qui croisent un jour ton chemin et te deviennent familiers ; je connaissais ton ouverture d’esprit, ton goût assuré pour la poésie... mais je découvre maintenant toute la force de ces qualités ! Je ne doute pas un instant qu’elles grandiront encore davantage.» C’est un éloge digne de l’Académie ! Merci !

« Merci mon cher ami, tu es toujours présent à mes côtés et ça me fait plaisir. Je te remercie. »

« Mon très cher Roumi, MERCI du fond du cœur... tu es un homme merveilleux... tu trouves toujours les mots juste... et ‘'est très beau ... Ouiiii c’est très triste cette perte... j’ai beaucoup pleuré... la mort appartient à la vie... c’est ainsi et on ne peut rien faire... la seule chose qui donne un petit sens à tout c’est l'amour et la bonté... La chanson est très belle... j’adore... je suis en train de l’écouter moi aussi à ce moment où je t’écris... merciii pour ce « je t’aime très fort ».... et moi je t’aime et je t’adore encore plus... :-) Allez je te laisse et je te souhaite une belle journée. »

« Je n’aurai jamais pensé que tu pouvais être aussi drôle (ce genre d'humour, je veux dire), c’est une nouvelle facette de toi que j’aime beaucoup :) ; c’est acide et souvent très pertinent. »


Juillet 2007

« Tu m’as toujours dit que tu serais là pour moi quand j’en aurai besoin. Aujourd’hui, j’ai besoin de toi. J’ai besoin que tu me conseille et que tu me donne ton avis. »

11 juillet : le cauchemar absolu, l’impression que tout s’effondre, la peur de perdre l’un des piliers de ma vie pour quelques mots mal interprétés, pour un regard trop curieux. Je suis loin du théâtre du drame et mon désespoir se double d’un sentiment d’impuissance … tes premières réactions me terrifient ; malgré ta douceur vite retrouvée, je sombre dans le silence…

« Salut ***. (…) Je suis vraiment étonné par le soin que tu donnes pour m’écrire d’aussi longues et belles pages. Crois moi on ne me le fait jamais. Je suis bien sûr content d’avoir lu tes emails ; ça me fait plus que plaisir et il faut dire que tu écris très bien, d’une manière qui me plait en plus. Les gens comme toi se font malheureusement de plus en plus rares à ce que je vois. Je viens de rentrer de la plage, je n’ai même pas pris ma douche et je savais comme par hasard que tu allais m’écrire (…). En lisant tes mots je ne pensais qu’à une chose : il faut voir ce type. J’aimerais te rencontrer dans la vraie vie (…) donc si tu comptes quelque soit le moment pendant l’année venir en Tunisie je serai le premier à vouloir te voir ici (…). »


Août 2007

« J’avais déjà constaté que tu n’étais pas à l’aise au téléphone, que cela te "tétanise" presque !!! D’où d’ailleurs ma surprise et ma joie quand j’ai trouvé ton message vocal ! Je me disais c’est vraiment gentil de ta part étant donné les efforts que tu as du faire ! J’imagine également ton soulagement quand tu es tombé sur ma messagerie ! Ouf !! Mais non, mais non, cher ami, je te taquine ! »

« Je serai très heureux de te voir enfin avec quelqu’un qui puisse te donner autant d’amour que ce que tu donnes. » Eh oui… c’était le moment de l’espoir… avant le grand râteau 2007 !

« Merci mon cher ami ; ça me fait plaisir. Je trouve que tu incarnes vraiment un ange d’où tu es. Je me sens bien quand je te parle bien que ce soit rare. J’espère que tu vas bien et je suis désolé pour mon absence sur les mails. A très bientôt. »

« Je tiens dabord à te remercier pour la générosité avec laquelle tu me combles. D’abord tu étais là pour m’écouter quand tout allait mal ; maintenant tu me donnes les moyens d’aller mieux. (…) j’apprécie grandement ton aide même si mes mots ne l’expriment pas assez ; je suis très ému par ton geste et encore plus heureux de savoir que j’ai un grand frère sur lequel je peux compter. »

« La nouvelle c’est que je serais à Paris dans quelques jours !!!! (…). Ça n’a pas été facile de te le cacher et j’ai eu à plusieurs fois envie de te le dire mais je voulais te le dire quand j’aurais eu mon visa, ce qui est chose faite depuis hier après midi. Tu vois, maintenant, pourquoi je t’avais dit à plusieurs reprise que j’étais sur que nous allions nous voir bientôt, alors que toi tu pensais que je te parlais de ta venue en Tunisie ! »


Septembre 2007

« J’adore ces photos ; elle sont très bien faites. La deuxième a des airs d’une affiche de pub Hugo Boss ou Ray-Ban :) J’adore tes lunettes ! Et j’ai vu que dans la première tu as un médaillon du même ange que celui de ton avatar ; c’est très beau. »

3 septembre : première rencontre du côté de Jussieu…

« Salut ***. Je me sens vraiment épanoui lorsque j’ai lu ton email ; ça me rend un grand service surtout en ce moment même. »

« Salut, moi aussi j’ai eu une petite pensée pour toi. J’ai fais cette photo [photo de l’ange peint par Raphaël] ce week-end à Montmartre. Biz. »

« Salut *** ! Eh ben elle nous cache des surprises la vie :P Roumi ; qui parle si bien de la Tunisie, qui la décrit si bien qui en fait des poèmes… (…) pour moi t’es plus tunisien que les Tunisiens (…) t’es notre Tunisien de Paris ! Et puis je suis énormément touché par ta sincérité. »

Roissy… derrière une vitre je t’aperçois… tu descends un escalier… mon petit frère à Paris… je te regarde en souriant… tu finis par tourner la tête et tu me souris… tu essaies de me parler derrière la vitre… on prend le taxi… on mange dans la petite cafétéria de La Défense en compagnie de Ratatouille ! On est presque seuls sur l’esplanade… il pleut… je n’en crois pas mes yeux de t’avoir près de moi, pour moi. Je me souviens aussi de notre promenade dans Paris… de cette main que tu posais tendrement sur mon épaule… du moment cruel de la séparation où tu me serrais dans tes bras à la gare de Lyon.

« Salut Roumi. Tu sais ça me touche vraiment beaucoup que tu te rappelles de moi. »


Octobre 2007

« Je suis heureux de t’entendre à nouveau ***. Et le plus surprenant c’est que j’ai reçu ton email à un moment où je commençais à perdre les pédales. »

5 octobre : nos retrouvailles aux grilles du parc du Luxembourg… tout mignon avec tes lunettes.

« Bonsoir *** ; ton petit mot tout gentil c’est comme si tu avais fait beaucoup. :) Tu vois que tu n’as pas besoin d’écrire des tartines pour que le message passe. :p »

« Cher ***, cela me fait vraiment plaisir de te lire et surtout de te connaître enfin ! Comme tu le dis si bien, il fallait bien que l’un de nous le fasse et c’est tant mieux si cela est venu de ta part en premier car comme je te l’ai déjà dit, je suis un grand timide. (…). Je t’embrasse très fort mon ami, à bientôt. » Tiens, un plus timide que moi !

« Coucou. Je viens de lire ton poème sur mon blog. C’est super beau ! Bravo et merci. J’adore ce que tu as écrit. C’est la première fois qu’on me fait un commentaire aussi original et aussi beau. En tout ça se voit que tu es quelqu’un de très généreux, gentil et sensible. Ça se voit dans ta manière d’écrire aussi. Enfin c’est ce que j’ai ressenti à travers les mails que tu m’as écrit. En tout cas merci énormément pour me dire que tu seras là si j’ai besoin. Ça me touche beaucoup. Et sache que c’est réciproque. C’est drôle ; on se connait depuis peu de temps et pourtant il y a déjà un lien fort entre nous. Tu es vraiment quelqu’un de bien :) merci encore. »

« Mon cher ***, J'ai été aussi très ravi de te voir enfin, c'était très agréable et je n'ai vraiment pas vu le temps passer moi qui suis un obsédé du tictac de l'horloge. Tu es quelqu'un d'intéressant et tellement gentil, j'en arrive à regretter de ne pas t'avoir connu plus tôt. »

« Bonjour *** (monsieur *** :p). Comment ça va ? Je suis content de voir que tu es allé sur mon blog. (…) En fait, je visitais souvent ton profil pour t’inciter à aller revoir le mien, et voir que j’y ai mis l’adresse. Bon je vais t’en raconter plus sur ma vie, histoire de faire plus connaissance même si j’ai l’impression de te connaitre depuis longtemps. »

« C’est étonnant, je pense pareil que toi quand je rencontre quelqu’un pour la première fois, je me dis toujours que cette personne a un vécu et j’ai tellement envie de remonter dans le temps et me transformer en un petit insecte invisible pour le voir évoluer, voir ce qu’il a été tout ce temps passé sans moi ;) »


Novembre 2007

3 novembre : le début d’un rêve qui devient progressivement réalité.

« Tu es vraiment un amour, merciiiiiiiiiiiiiiiii pour ton message. J’t’adore tu le sais^^. Excuse-moi, je répondrais mieux. Là je ne me suis pas couché ; je suis fracassé lool^^. »

« Salut ***. Quelle horreur ce poème paillard... Je ne pensais pas que tu étais capable de tant d’obscénités!!! Je n’ose même pas le publier... » C’est bien dommage… :p

« Suis-je le premier à te le souhaiter ? » Eh oui tu étais le premier !

« Tu es toujours à mes yeux le *** que je connais: sensible, respectueux, généreux et attentionné ! » Tu es toujours à mes yeux une perle rare ! :)

« A la lecture de ton blog j’ai été assez ému d'en découvrir plus sur toi. Je suis très touché par ton érudition et surtout par ta sensibilité. Tu es un poète *** ! Un vrai qui sait regarder au-delà du voile médiocre des convenances et des apparences... par delà les temps et les contrées lointaines. Cela t’honore et honore tes amis. Ce que tu écris-là a autant de valeur pour moi que ce que je garde précieusement sur ma table de chevet ou dans ma bibliothèque. Je t’encourage à continuer à écrire... Je connaissais déjà ton écriture par les choses que tu as publiées en tant qu’historien ; tu peux te féliciter de ne pas démériter en tant que poète. (…) Voila *** que tu me touche aussi en te confiant à moi et en me révélant une part importante de ton intimité. Il est vrai que nous n'avons jamais parlé beaucoup de nos amours, mais tu sais désormais que tu pourras me confier tout ce que tu veux ; je me réjouie d’être privé d’un quelconque préjugé. ».


Décembre 2007

« C’était vraiment très agréable de passer cet après-midi avec toi. Je pense même que c'est beaucoup plus agréable que l’après-midi que j'allais passer avec °°°. Et ça m’a fait vraiment plaisir de te voir en vrai. (…) Bon aller, je vais te quitter... (snif). Merci encore pour ce merveilleux après-midi. KISSES Mon Frère. »

« Je profite d’une minute de calme pour t’écrire quelques mots. Je suis désolé si on n’arrive pas à se voir mais j’arrête pas de courir en ce moment. (…) Tout ça pour te dire que je pense à toi beaucoup et que je trouve ça fou qu’on communique plus quand j’étais à des milliers de kilomètres. En tout cas je lis toujours ton blog :) »

« Coucou Roumi. Ça me fait plaisir d’avoir de tes nouvelles hors blogs. (…) tes commentaires me manquent parfois donc je vais parfois te chercher chez toi ;). Pour ce qui est des commentaires, j’aime bien que tu commentes non par orgueil ou besoin de reconnaissance ;) c’est simplement que tu sembles le seul à peu près à comprendre et peut-être partager une certaine sensibilité (pas sensiblerie !!!) et le fait qu’on parle la même langue et qu’on connaisse un peu plus que certains (sans fausse modestie) ses subtilités, fait pencher la balance un peu dans ton sens. Sans plus. Tout ce que tu as écrit chez moi m’a semblé intéressant et jamais idiot alors ne t’en prive pas. :)) (…) Comme je le disais à °°°, j’aime bien ce que tu écris, ça dégage beaucoup de choses et parfois cela me touche. J'ai émis dans le désir (et je pensais même pas à ce qu’il se réalise) de connaitre l’auteur de ces mots. »


Je vous adresse tous mes vœux de bonheur, de santé et de réussite pour l’année 2008.