La semaine s'est vite écoulée sans que je puisse écrire mon texte hebdomadaire. Entre le manque de temps, l'impossibilité d'accéder à internet dans certains secteurs de la France profonde où je me suis rendu et mes devoirs m'engageant à me consacrer prioritairement à ceux de mes amis qui avaient besoin de moi, je suis arrivé jusqu'à cette heure sans avoir rien publié.
Cela étant dit, je vais me rattraper avec deux belles photos d'un paysage neigeux parcouru cette semaine. J'ai eu le plaisir de marcher dans la neige pour la première fois depuis bien longtemps, d'admirer la cime des résineux couverte de cette poudre qui tombait lentement au gré du souffle léger du vent. Le froid n'entamait pas plaisir d'être en ce lieu, chargé de magie et d'émotion.
Emotion de remettre mes pas dans des lieux vus il y a quinze ans et dans lesquels je me sentais étrangement aussi familier qu'étranger, émotion de me trouver dans un lieu de la mémoire petite - la mienne - et grande - celle de l'Histoire -, émotion d'être entouré de coeurs chaleureux mais aussi de pouvoir m'éloigner de tous par moment, n'entendant plus alors que le son de mes pieds qui marquaient de leur empreinte le sol neigeux.
Un grand moment de bonheur et de plaisir pour un but tout à fait sérieux en plus ; c'est vraiment l'idéal, qui joint l'utile à l'agréable.
Avant de refermer cette brève note avec deux photographies, je voudrais seulement avoir une pensée pour quelques personnes, tous ceux qui ont marqué ma semaine, certains de manière très poignante. Je voudrais aussi saluer une certaine Azza qui se reconnaîtra.
Cela étant dit, je vais me rattraper avec deux belles photos d'un paysage neigeux parcouru cette semaine. J'ai eu le plaisir de marcher dans la neige pour la première fois depuis bien longtemps, d'admirer la cime des résineux couverte de cette poudre qui tombait lentement au gré du souffle léger du vent. Le froid n'entamait pas plaisir d'être en ce lieu, chargé de magie et d'émotion.
Emotion de remettre mes pas dans des lieux vus il y a quinze ans et dans lesquels je me sentais étrangement aussi familier qu'étranger, émotion de me trouver dans un lieu de la mémoire petite - la mienne - et grande - celle de l'Histoire -, émotion d'être entouré de coeurs chaleureux mais aussi de pouvoir m'éloigner de tous par moment, n'entendant plus alors que le son de mes pieds qui marquaient de leur empreinte le sol neigeux.
Un grand moment de bonheur et de plaisir pour un but tout à fait sérieux en plus ; c'est vraiment l'idéal, qui joint l'utile à l'agréable.
Avant de refermer cette brève note avec deux photographies, je voudrais seulement avoir une pensée pour quelques personnes, tous ceux qui ont marqué ma semaine, certains de manière très poignante. Je voudrais aussi saluer une certaine Azza qui se reconnaîtra.
4 commentaires:
Roumi les photos sont magnifiques...C'est vrai qu'à Paris cette année, le bonheur de marcher sur cette poudre blanche ne nous a pas été accessible!
@titelfe : effectivement la neige a été peu présente à Paris, sauf peut-être un peu lundi dernier. :) Mais c'est justement le jour où j'en ai profité ailleurs. :)
Merci pour ce bruit de pas dans la neige... Ca fait partie des plaisirs simples de la vie (comme l'odeur de la pluie sur un sol sec, les parfums du soir des jardins en été,...). Malheureusement, ça fait bien longtemps que je n'ai pas marché dans la neige. En terre bretonne, c'est plutôt le vent qui mugit contre les maisons que l'on écoute bien au chaud dans un lit douillet...
@boréale : cette année la neige a été plus généreuse que les années précédentes ; j'ai donc pu marcher sur la neige sans quitter l'Ile-de-France, comme dans mes souvenirs d'enfance.
C'est vrai que le climat breton est sans doute teinté d'autres caractéristiques. Je ne me redirais jamais assez ; j'étais par hasard sur la côte bretonne pendant la fameuse canicule de 2003 et je n'ai pas eu à m'en plaindre ! :)
Le bruit de la pluie est agréable en effet quand on est au lit. Cela donne un sentiment de confort supplémentaire.
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