lundi 7 septembre 2009

Zéphyr

Ô mon Zéphyr au parfum de violettes,
Tu parsèmes mon coeur de ces fruits ;
Je m'en délecte quand, sans nul bruit,
Tu t'éloignes de moi, mon Alouette...

Oiseau rebelle, tu picores mes vers
Et me condamne au corps à coeur ;
L'errance de nos deux âmes en peur
Nous emmène au diable Vauvert...

Quand nous serions heureux au pré
L'un auprès de l'autre, bien enlacés,
Toi mon Arbre... et moi ta Terre...

Toi mon Soleil et moi ton Univers.
N'attend pas la vérité des larmes
Pour t'imprégner de mes charmes.

4 commentaires:

Monsieur-bien a dit…

La rime est reguliere et harmonieuse mais les idées semblent aller trop vite et les comparaisons plus fortes que le sentiment qui emerge.
Poeme original dans l'air du temps.

Anonyme a dit…

محبوبه كانت تنتابها حالات من الخدر وقت اللي نقترب منها باش نفهّمها السؤال و الا نصلّحلها التمرين والا نشدّلها يدّها (كيما كنت نعمل معاهم الكل) باش نحسّسّها بحركات القلم في حصّة الخطّ ..في البداية ما حطّيتش في بالي حاجة عندها علاقة بحاجة من قبيل الانجذاب الجنسي تجاهي .. الشيء اللي طبيعي باش يحدث من جانبها هي ّ لانّي ربما الرجل الوحيد اللي تباشر فيه يوميا بعد بوها

DOC ENIGMATIQUE a dit…

Jolis poèmes Roumi bonne continuation
Aidek mabrouk

Roumi a dit…

merci. très bonne fête à toi. :)